é&ÿÿÿÿWordMicrosoft Word  ¬ « ûCourier New- ÿÿÿüÿÿÿ- !ðv@½8üÿÿÿ-ð ûœÿ¼@Georgia- 2 Á « ¬ LA RECHERCHEELPHH[HPH[H 2 Áy« ¬ -&¬ « üÿÿÿ- ÿÿÿü- !ð ±,-- !ð ±,-- !ð @±8-- !ð ±x-- !ð ±x-- !ðv ½,-- !ðv ½x--ð 'ÿÿû­ÿ¼@Georgia- ÿÿÿüÿÿÿ- !ðv@38-ð -2 3« ¬ ACTIONLHD-RT- 2 B­« ¬ .¬ « üÿÿÿ- ÿÿÿ- !ð ©,-- !ð ©,-- !ð @©8-- !ð ©x-- !ð ©x-- !ðv 3,-- !ðv 3x--ð 'ÿÿûÒÿ¼@Times New Roman-ûÎÿ¼@Georgia-2 µ! « ¬ Patrick ROBO# ()&)- 2 ¸Š« ¬ ûÒÿ¼@Georgia-2 ï« ¬ 1996 2 ï« ¬ ûÒÿ@Times New Roman- 2 $ì« ¬ ûíÿ@Times New Roman- -#2 Yì« ¬ D'après FIJALKOW! !!+- ¬ « - 2 fp1 'ÿÿ-Ž2 YyW« ¬ , contrairement à la recherche pathologique qui se limite à l'existant, à la cause, la   "       "         2 Žì « ¬ recherche 2 Ž™« ¬ -˜2 ލ^« ¬ action fait en sorte qu'il n'apparaisse pas ou s'efforce de le déplacer en créant de nouveaux          2 Ãì « ¬ possibles.    2 é« ¬ ‰2 øìT« ¬ Ainsi l'enfant en difficulté ne sera pas un point de départ mais un point d'arrivée.                "       2 øž« ¬ ûÒÿ@Times New Roman- ¤2 -ìf« ¬ "La recherche pathologique, partie d'un constat, ne remet pas en doute son objet. Elle ne peut que le         !        .2 bì« ¬ disséquer. la recherche    2 b¦« ¬ -O2 bµ-« ¬ action considère que l'existence de cet objet        F2 b'« ¬ ne relève pas de la nécessité et agit      - 72 —ì« ¬ pour en prévenir l'existence.       -2 —÷« ¬ " (...)   2 —W« ¬ - 2 Ìì« ¬ "- 2 Ìþ « ¬ La recherche 2 Ìô« ¬ -€2 ÌN« ¬ action se différencie donc ici de la recherche pathologique en ce qu'elle est             ûÒÿ¼@Times New Roman- 2 Ì¢« ¬ transformation # - 2 Ì¿« ¬ - )2 ì« ¬ plutôt que constat,       - "2 O« ¬ expérimentation #  - .2 ‚« ¬ plutôt qu'observation.       -2 #« ¬ "  2 A« ¬ 2 6ì « ¬ Ainsi la dém   "+2 6Ø« ¬ arche d'une recherche 2 6e« ¬ -€2 6tN« ¬ action partira de la réussite et non de l'échec ; elle relève de la recherche            2 kì « ¬ empirique."   2 k¬« ¬ - 2  ì« ¬ "- ­2  þl« ¬ Le chercheur procède comme le maître efficace qui, dans sa classe, essaie différentes formules et tâtonne à    !!  !              !      - A2 Õì$« ¬ la recherche de celles qui lui parai         ,2 Õq« ¬ ssent les meilleures."  !  - 2 Õ÷« ¬ -2 ì« ¬ (...) " - 2 R « ¬ La recherche 2 K« ¬ -—2 Z]« ¬ action laisse le chercheur intellectuellement insatisfait ; si elle ne suffit pas, force est          !           - [2 ?ì5« ¬ donc de compléter son apport par d'autres approches."  !          -Y2 ?é4« ¬ (les autres recherches ou résultats de recherches).            2 ?s« ¬  2 tì« ¬ De fait la rec!  2 tñ« ¬ herche 2 tg« ¬ -Ž2 tvW« ¬ action est complémentaire de la recherche (pure, scientifique), et du fait que souvent   " "           ­2 ©ìl« ¬ l'objet de la recherche est un sujet, ses partisans affirment que la transformation est plus importante que         "   "    "   \2 Þì6« ¬ l'explication, sans exclure cette dernière pour autant              2 Þ˜« ¬ . 2 Þ¤« ¬ - -2 ì « ¬ La recherche 2 Ü« ¬ -m2 ëA« ¬ action s'inscrit dans une approche systémique, multiréférentielle    "  "   - ¬ « - 2 2 'ÿÿ-:2 ™« ¬ . et ainsi manipule l'ensemble    "   "  µ2 Hìq« ¬ des facteurs qui jouent un rôle dans l'objet de la recherche, ce qui relativise l'importance de tel ou tel fait,                 "      -2 }ì « ¬ élément. " " - 2 }¡ « ¬ La recherche  2 }•« ¬ -2 }¤« ¬ action a  }2 };L« ¬ vec son foisonnement de variables, à l'avantage de rappeler qu'une variable    !                - ¦2 ²ìg« ¬ n'est qu'une variable et que l'explication du problème étudié ne saurait être valide sans être complexe              !             ! -2 ²B« ¬ ."  2 ²`« ¬ 2 çì « ¬ La recherche 2 çÜ« ¬ -g2 çë=« ¬ action engendre une travail de recherche à partir d'une actio     =2 çW!« ¬ n, recherche qui, dans un second    [2 ì5« ¬ temps, vient féconder l'action, sous forme de boucle. "       "    2 Ÿ« ¬  2 Qì« ¬ ûÎÿ,@Bookman Old Style- ¬ « 2 " ì 2 " Ì 'ÿÿü- !ðXB ì-ð 2 " D« ¬ ûíÿ@Times New Roman- - ¬ « - 2 \ ì1 'ÿÿûßÿ@Times New Roman-"2 \ õ« ¬ : FIJALKOW F.,  ûßÿ@Times New Roman-42 [ Û« ¬ L'illettrisme en question,   -"2 \ ,« ¬ Ed. P.U.L., 192 \ ï « ¬ 90, p. 244 2 \ t« ¬ - 2 \ ~« ¬ 245. 2 \ ¹« ¬ - - ¬ « - 2 Ž ì2 'ÿÿûÒÿ@Times New Roman-2 õ« ¬ : - 2 Ž « ¬ " -n2 &B« ¬ Assumant pleinement l'hypothèse de la complexité, voire de l'hyper              2 §« ¬ - k2 ²@« ¬ complexité, de la réalité à propos de laquelle on s'interroge, l              ûßÿ¼@Times New Roman-2 Œ ë « ¬ 'approche  -&2 ¶ ì« ¬ multiréférentielle     -}2 · ÚL« ¬ propose une lecture plurielle de ses objets (pratiques ou théoriques), sous                    U2 · ¾1« ¬ différents angles, impliquant autant de regards              é2 Ý ì”« ¬ spécifiques et de langages, appropriés aux descriptions requises, en fonction de systèmes de références distincts, supposés, reconnus explicitement                                   2  ì« ¬ non 2  « ¬ - ^2  *7« ¬ réductibles les uns aux autres, c'est à dire hétérogène             ‘2  øY« ¬ s. Cette démarche a pris naissance dans l'embarras même où se retrouvent toujours placés                 X2 ) ì3« ¬ les praticiens, quand ils deviennent soucieux de ré             2 ) « ¬ - ”2 ) š[« ¬ interroger leurs pratiques, sans doute pour les optimiser, avec, ainsi, une intention plus                         -/2 O ì« ¬ délibérément praxéologiq      ƒ2 O FP« ¬ ue, mais aussi, pour tenter de mieux les comprendre, voire de les théoriser... "                 -2 P Y « ¬ ARDOINO J.    2 P « ¬ - :2 P (« ¬ L'approche multiréférentielle       -Y2 v ì4« ¬ (plurielle) des situations éducatives et formatives                 2 v l« ¬ - 2 v v« ¬ in  -y2 u §I« ¬ L'approche multiréférentielle en formation et en sciences de l'éducation,               - 2 v p« ¬ 2 v x « ¬ FORMATION  -2 › ì « ¬ PERMANENTE  2 › Ñ« ¬ - :2 › Û« ¬ Université de Paris VIII, 1993    ûÚÿ@Times New Roman- 2 – k« ¬ -𬠬 « « « « ª ª ª ª © © © © ¨ ¨ ¨ ¨ § § § § ¦ ¦ ¦ ¦ ¥ ¥ ¥ ¥ ¤ ¤ ¤ ¤ £ £